L’État d’alerte face au risque de violences extrémistes passe au niveau supérieur aux États-Unis
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Une semaine après l’assermentation de Joe Biden comme nouveau président des États-Unis, le ministère américain de la Sécurité intérieure vient de faire une mise en garde contre des actions violentes de la part d’extrémistes violents opposés à la présidence de Joe Biden.
Dans un bulletin d’alarme diffusé, les autorités américaines soutiennent que des informations suggèrent que des extrémistes violents ayant des objections à l’exercice de l’autorité gouvernementale et à la transition présidentielle, ainsi que d’autres griefs alimentés par des récits mensongers, pourraient continuer à se mobiliser, et à inciter à commettre des violences.
Toujours selon le département de sécurité intérieure, aucun groupe spécifique ne s’est manifesté publiquement, mais que de violentes émeutes ont encore eu lieu ces derniers jours et que la menace pourrait persister plusieurs semaines.
Le bulletin, qui doit rester en vigueur jusqu’au 30 avril, relève que les extrémistes sont animés par plusieurs motivations. Notamment leur colère face aux restrictions liées au Covid-19 et aux résultats de l’élection présidentielle.
Le ministère de la sécurité intérieur se dit déterminé à protéger les infrastructures critiques et les populations qui pourraient être ciblées en raison de leur religion, race, origine, identité ou opinion politique.